Représentation en trois dimensions et fausses couleurs de particules virales similaires au virus chikungunya.
National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID)
Le virus chikungunya est à l’origine de graves douleurs laissant parfois des séquelles très invalidantes. Ses flambées deviennent plus fréquentes, comme en témoigne le nombre de cas record en France, en ce début d’été.
Une personne quitte un centre de vaccination contre la grippe, à Nancy, en Lorraine, après avoir reçu une dose de vaccin antigrippal.
Jean-Christophe Verhaegen/AFP
L’épidémie de grippe en cours est particulièrement sévère, touchant à la fois les plus jeunes et les plus âgés. Les raisons de cette ampleur restent floues, mais des pistes d’explication existent.
Les pays d’Europe de l’Est ont payé un lourd tribut à la pandémie de Covid-19 en matière de perte d’espérance de vie.
Circlephoto/Shutterstock
Les données collectées pendant et après la pandémie de Covid-19 continuent à être analysées pour en évaluer l’impact. Le bilan de surmortalité révèle une importante et hétérogène perte d’espérance de vie.
L'Américain Noah Lyles est allongé sur la piste après avoir participé à la finale du 200 mètres masculin aux Jeux olympiques, le 8 août 2024, à Saint-Denis. Lyles a déclaré avoir été contrôlé positif à la Covid deux jours avant de terminer troisième de la finale du 200 mètres.
(AP Photo/Petr David Josek)
L’été 2024 a été marqué par une forte augmentation du nombre de cas de Covid. Bien que le virus ne soit plus une urgence, il constitue toujours une menace pour la santé.
Aux États-Unis, les geais bleus (Cyanocitta cristata) sont un important réservoir du virus de l’encéphalite équine de l’Est.
Mathew Schwartz/Unsplash
Fin août 2024, aux États-Unis, les autorités ont émis une alerte dans une dizaine de villes, après la mort d’une personne contaminée par le virus de l’encéphalite équine de l’Est après une piqûre de moustique.
Une salle de traitement dans la zone de quarantaine d'un centre de santé en République centrafricaine.
Charles Boussel/Getty Images
Le système sanitaire mondial doit se rendre compte qu'une épidémie dans une partie du monde est une préoccupation pour tous.
Une femelle phlébotome, en train de prendre un repas de sang. Ces petites mouches sont le principal vecteur du virus Chandipura en Inde.
Ray Wilson/Alamy Stock Photo
Depuis le début du mois de juin 2024, l’Inde subit une épidémie d’encéphalites virales causées par un virus transmis par de petits moucherons se nourrissant de sang.
Un Covid-19, même léger, peut entraîner l'équivalent de sept ans de vieillissement cérébral.
NIAID/NIH
Un nombre croissant d’études indique que l’infection par le coronavirus SARS-CoV-2, même lorsqu’elle ne s’accompagne pas de symptômes sévères, peut avoir des conséquences délétères pour le cerveau.
Lors des promenades en forêt, pour éviter les piqûres de tiques, mieux vaut porter des vêtements couvrants et éviter de passer dans les buissons.
rbkomar/Shutterstock
Transmise par les tiques, la maladie de Lyme n’est pas simple à diagnostiquer. Cette difficulté peut être à l’origine d’une rupture de confiance entre patients et médecin. Et s’accompagner de dérives.
Les tiques du genre Hyaluromma peuvent transmettre le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo.
Yakov Oskanov/Shutterstock
Ce nouveau virus « exotique » semble en passe de s’installer dans le Sud de la France, dans le sillage de la tique invasive qui le transmet. Sans céder à l’alarmisme, voici ce qu’il faut en savoir.
Comme d’autres mammifères, les pangolins peuvent être infectés par les coronavirus.
Shutterstock/Erik Sulidra
Début janvier, un article scientifique chinois rapportait qu’un coronavirus de pangolin muté en laboratoire s’avérait fatal pour des souris « humanisées ». Faut-il s’inquiéter de ces résultats ?
Et vous, êtes-vous plutôt mouchoir en papier ou mouchoir en tissu ?
Shutterstock
En matière d’impact environnemental, les mouchoirs en papier n’ont pas forcément un bilan moins bon que les mouchoirs en tissu. Et concernant l’hygiène, le tissu ne fait pas mieux non plus.
Micrographie électronique à balayage colorisée (fausses couleurs) de virus mpox (en rouge) situés à la surface de cellules VERO E6 infectées (en vert). Image prise au NIAID Integrated Research Facility (IRF) à Fort Detrick, Maryland.
Crédit :
NIAID / NIH
En 2022, une épidémie mondiale de mpox (anciennement « variole du singe ») s’était déclarée. Aujourd’hui la situation reste préoccupante, car la forme la plus virulente de la maladie semble se propager en Afrique.
Une tique appartenant au genre Ixodes à l’affût.
Erik_Karits / Pixabay
Les cas annuels d’encéphalite à tiques augmentent en Europe. Potentiellement grave, cette infection virale, pour laquelle un vaccin existe, est à déclaration obligatoire depuis 2021. Que faut-il savoir ?
Le virus se transmet par l’exposition à l’urine ou la salive de chauve-souris frugivore du genre Pteropus.
Miroslav Srb/Shutterstock
Si de nombreuses populations vivent au contact de chauves-souris frugivores porteuses du virus Nipah, celui-ci ne se transmet que rarement à l'homme. Comment et pourquoi ?
Un scientifique examine des moustiques tigres à Montpellier, dans le sud de la France, dans un laboratoire de l’EID (Entente départementale pour la démoustification)
Pascal Guyot / AFP
Les nombres de cas de dengue contractés en France métropolitaine ont explosé en 2022. Cette année restera-t-elle exceptionnelle, ou marque-t-elle plutôt l’entrée dans une nouvelle normalité ?
Béatrice Grasland, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses); Benoît Tonson, The Conversation France, and Bruno Lina, ENS de Lyon
Le podcast « Zootopique » revient pour une deuxième saison. Dans cet épisode nous faisons le point sur les grippes. Sommes-nous prêts à affronter une prochaine pandémie ?
Des fourmis légionnaires photographiées dans la forêt tropicale de Mabira, en Ouganda.
Bernard Dupont / Wikimedia Commons
Les virus qui hantent les forêts tropicales humides peuvent être à l’origine de graves maladies émergentes. Pour mieux les surveiller, les scientifiques pourraient bientôt compter sur les fourmis.
Représentation de la polymérase de SARS-CoV-2 dupliquant l’ARN du virus.
Antonio Monari
En appliquant les lois de la physique classique et quantique, on peut comprendre comment les virus exploitent les cellules pour se reproduire et donc concevoir des nouveaux antiviraux.
Les symptômes du Covid long peuvent durer plusieurs mois, voire plusieurs années.
Shutterstock
Les patients atteints de « Covid long » subissent, des mois ou des années durant, des symptômes très invalidants. Que sait-on de ce syndrome, qui peut être réactivé par une nouvelle infection ?
Épidémiologiste et biostatisticienne, directrice adjointe de l'Institut Pierre Louis d’Épidémiologie et de Santé Publique (Sorbonne Université/Inserm), directrice de recherches, Inserm
PU-PH, Professeur de Pédiatrie, Inserm UMR 1069 "Nutrition, Growth Cancer" & Inserm F-CRIN PEDSTART, Institut Européen de l'Histoire et des Cultures de l'Alimentation,Université de Tours, CHU de Tours, Université de Tours
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Médecin, directeur de l'Unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur, professeur titulaire de la Chaire Santé et Développement du CNAM, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Professeur des Université en pédiatrie, chef du service de pédiatrie générale et des urgences pédiatriques, hôpital Mère Enfant, CHU Nantes, Nantes Université
Professeur des universités - praticien hospitalier - Maladies infectieuses et tropicales et médecine interne, coordonnateur du Centre de référence Maladies vectorielles à tiques, membre du groupe de travail HAS, membre du groupe de travail ANSES, Université de Strasbourg
Médecin spécialiste en maladies infectieuses, Professeur des Universités, présidente du groupe de travail sur le Covid long à la Haute Autorité de Santé, Université Paris Cité