Les mesures sanitaires, prises durant les premiers temps de la pandémie, ont permis de limiter la propagation du virus sur le territoire.
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La surmortalité due à la pandémie de Covid-19, en 2020 et en 2021, se compare-t-elle aux crises sanitaires qui ont marqué le XXe siècle ? Les réponses de l’Institut national d’études démographiques (Ined).
L’argousier contient des composés actifs contre les coronavirus.
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Céline Rivière, Université de Lille and Karin Séron, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Des composés anticoronavirus ont été identifiés dans l’argousier, un arbuste épineux commun sur nos côtes. Une découverte qui plaide pour une meilleure préservation de la biodiversité.
La ville de Wuhan (capitale de la province du Hubei, Chine) a été l’épicentre du début de la pandémie de Covid-19.
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D’où vient le virus SARS-CoV-2 ? Trois agences états-uniennes, dont la CIA, pointent vers la possibilité d’une fuite d’un laboratoire chinois. Entre politique et science, essayons d’y voir plus clair.
Arnaud Fontanet, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Pour contrer la pandémie de Covid-19, tous les États n’ont pas adopté les mêmes stratégies. Lesquelles ont été les plus efficaces ? Éléments de réponse grâce à l’analyse de la surmortalité de 13 pays européens.
Les situations d’obésité comme les maladies chroniques type diabète, maladies cardiovasculaires, pulmonaires, rénales, etc. prédisposent à des formes graves de Covid ou de grippe contre lesquelles la vaccination est recommandée.
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Les symptômes courants d’un Covid simple et d’une grippe se ressemblent. Ces deux maladies dues à des virus peuvent aussi donner des formes graves. Le principal outil de prévention reste le vaccin.
Un Covid-19, même léger, peut entraîner l'équivalent de sept ans de vieillissement cérébral.
NIAID/NIH
Un nombre croissant d’études indique que l’infection par le coronavirus SARS-CoV-2, même lorsqu’elle ne s’accompagne pas de symptômes sévères, peut avoir des conséquences délétères pour le cerveau.
Le système immunitaire des chauves-souris est très étudié.
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Élodie Monchâtre-Leroy, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
Les chauves-souris peuvent vivre en hébergeant des virus mortels pour les humains. Décryptage du fonctionnement de leur système immunitaire unique.
Micrographie électronique à balayage colorisée d'une cellule (rose) infectée par des particules du virus SARS-CoV-2 (vert et violet), isolée à partir d'un échantillon de patient.
Image prise au NIAID Integrated Research Facility (IRF) à Fort Detrick, Maryland / NIAID/NIH
Loin de n’être qu’un « banal » virus respiratoire, le coronavirus SARS-CoV-2 peut envahir de nombreuses sortes de cellules dans notre corps. Y compris dans le cerveau, normalement si bien protégé.
Comme d’autres mammifères, les pangolins peuvent être infectés par les coronavirus.
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Début janvier, un article scientifique chinois rapportait qu’un coronavirus de pangolin muté en laboratoire s’avérait fatal pour des souris « humanisées ». Faut-il s’inquiéter de ces résultats ?
En période de crise, les ventes de produits cosmétiques ont tendance à augmenter, un phénomène désigné comme un « effet rouge à lèvres ».
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On observe généralement en période de crise une hausse qui peut sembler paradoxale des dépenses en produit de beauté. Le phénomène a toutefois pris un tour nouveau pendant le Covid.
L'origine du Covid est toujours débattue.
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L’article scientifique concluant à une origine naturelle du Covid a fait couler beaucoup d’encre suite à la publication d’échanges caviardés entre ses auteurs. Que faut-il retenir ?
Représentation de la polymérase de SARS-CoV-2 dupliquant l’ARN du virus.
Antonio Monari
En appliquant les lois de la physique classique et quantique, on peut comprendre comment les virus exploitent les cellules pour se reproduire et donc concevoir des nouveaux antiviraux.
Un homme se fait prendre la température avant d’entrer dans un centre de vaccination pour recevoir une dose de vaccin anti-Covid-19, à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
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Alice Desclaux, Institut de recherche pour le développement (IRD); Mamadou Diallo, Institut de recherche pour le développement (IRD), and Philippe Msellati, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Une commission d’experts a récemment publié un bilan très critique de la réaction des États à la pandémie de Covid-19. Comment les pays d’Afrique de l’Ouest et centrale s’en sont-ils sortis ?
Les symptômes du Covid long peuvent durer plusieurs mois, voire plusieurs années.
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Les patients atteints de « Covid long » subissent, des mois ou des années durant, des symptômes très invalidants. Que sait-on de ce syndrome, qui peut être réactivé par une nouvelle infection ?
Micrographie électronique à balayage d'une cellule apoptotique (en violet, fausses couleurs) infectée par le SARS-CoV-2 (particules jaunes, fausses couleurs), isolée à partir d'un échantillon provenant d’un patient.
National Institute of Allergy and Infectious Diseases, NIH
Notre cerveau est censé être protégé de toute intrusion par la barrière hémato-encéphalique. Mais le SARS-CoV-2 a trouvé plusieurs moyens d’y entrer par effraction. Avec quelles conséquences ?
Il est impossible d'estimer l'importance d'une vague de Covid en France d'après la situation dans d'autres pays.
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La récente poussée de contaminations par les variants Omicron BA.4 et BA.5 au Portugal et en Afrique du Sud inquiète en France. Déjà présents dans l'Hexagone, quel peut être leur impact ?
Les sels de lithium, utilisés notamment dans le traitement des troubles bipolaires, ont un effet antiviral et anti-inflammatoire.
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Être atteint de pathologie mentale multiplie les risques face au Covid. Or des études démontrent que les médicaments psychorégulateurs au lithium offrent une certaine protection face au SARS-CoV-2.
Une vague d’hépatites sévères dont l’origine n’est pas encore identifiée frappe les enfants.
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Le SARS-CoV-2 n’a pas encore été rayé de la liste des suspects, mais le coupable le plus probable de la vague d’hépatites sévères qui touche actuellement les enfants est un autre virus, l’adénovirus.
Si les vaccins n’ont pas permis d’arrêter la transmission du SARS-CoV-2, ils restent néanmoins aujourd’hui encore la meilleure arme dont nous disposions pour lutter contre les formes sévères de Covid-19.
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Depuis début février, un premier antiviral anti-Covid-19 est autorisé en France sur prescription médicale : le Paxlovid de Pfizer. D’autres pourraient suivre, selon les résultats des essais cliniques.
Le séquençage du SARS-CoV-2 et de ses variants et le partage des données collectées a été un effort mondial et d'une ampleur sans précédent (ici au Centre national de reference de l'institut Pasteur de Paris, janvier 2021).
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Jamais un virus n’avait été autant étudié… Voici comment le séquençage massif du génome du SARS-CoV-2 a éclairé son évolution et aidé à la conception de traitements et de vaccins.
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Anthropologue, Centre Régional de Recherche et de Formation à la prise en charge Clinique de Fann (CRCF, Dakar), Institut de recherche pour le développement (IRD)
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)