Laurent Bibard wrote an article
L’essor des algorithmes est aujourd’hui favorisé par une fascination pour la technologie qui éclipse les enjeux d’impact sociaux et environnementaux des outils.
L’essor des algorithmes est aujourd’hui favorisé par une fascination pour la technologie qui éclipse les enjeux d’impact sociaux et environnementaux des outils.
L'Etat de droit est là pour faire respecter l’inclusion de toutes et tous. Il faut donc le défendre.
– Guerre en Ukraine : les sexualités au cœur de l’enjeu de la mobilisation russe
Le choc entre « Occident » et la Russie révèle une tension, inhérente à l’humanité, entre une liberté « féminine » et une hiérarchie verticale « masculine » mise en avant par Poutine et son régime.
La programmation des algorithmes qui piloteront demain les voitures sans chauffeur sera le fruit de choix éthiques humains politiques et forcément partiaux. Démonstration.
– Le discours sur les sexualités, ou le piège poutinien tendu à l’Occident
En évoquant un « endoctrinement des enfants » sur la question du genre dans son discours du 30 septembre, le président russe Vladimir Poutine envenime un débat qui fragilise les sociétés occidentales.
– La « fin de l’abondance », une chance pour renouer avec notre humanité
Au-delà des polémiques, les propos d’Emmanuel Macron laissent entrevoir dans la crise climatique une opportunité de rompre avec les errances des systèmes qui prévalent depuis 30 ans.
– Emmanuel Macron reconnaîtra-t-il (enfin) la vraie « complexité » lors de son second mandat ?
Malgré ses intentions de 2017, le président a échoué à déployer la pensée complexe dans son exercice du pouvoir. Ce principe sera-t-il remis au cœur de sa « méthode refondée » promise le 24 avril ?
– Vidéo : « Et si… la technologie nous rendait immortels ? »
Créer des doubles virtuels immortels : quelles sont les conséquences sur notre rapport à la vie et à la mort ?
– Le conflit russo-ukrainien est aussi une question de regard sur les sexualités
Le chef de l’Église orthodoxe a soutenu le conflit en Ukraine, invoquant une guerre des civilisations et faisant de l’homosexualité l’emblème du vice démocratique qui veut corrompre la nation russe.
– Le retour de la guerre confirme en creux que l’histoire est bel et bien finie
Selon le philosophe russe Alexandre Kojève en 1947, la prise de conscience qu’il n’y a plus de raisons de massacrer des populations innocentes marque un achèvement pour l’humanité.
– La menace nucléaire agitée par Poutine réactive notre conscience de la finitude
La prise de conscience de notre mortalité est sans doute à la racine du sens même de nos vies. Nous étions en train de l’oublier.
– Ukraine : le retour de la violence, un risque oublié dans la pensée « moderne »
L’illusion de la réalisation d’un monde parfait génère une forme de naïveté dans nos comportements et nos attentes en Occident.
La joie de vivre se gagne au prix d’un effort pour saisir les circonstances, heureuses comme malheureuses, qui se présentent à nous.
– On récolte ce qu’on sème, et cette année (comme toutes les autres), on peut semer le meilleur !
Perte de liberté, inégalités… Les maux engendrés par la crise du Covid sont des problèmes éternels de l’humanité. Les réponses à y apporter dépendent cependant toujours de circonstances inédites.
– Gouvernements, entreprises… le désir de reconnaissance, moteur de l’ambition
Qu’est-ce qui fait ainsi courir les femmes et les hommes vers des responsabilités de plus en plus intenables ? Un texte de Xénophon éclaire sur le rôle essentiel que joue le regard des autres.
– Penser la complexité : du rêve d’un monde simple au cauchemar du simplisme
Notre volonté illusoire de vivre dans un environnement sécurisé et pacifié peut nous conduire à souhaiter plus de contrôle des organisations. Une réponse à la complexité qui n’est pas sans risque…
Le transhumanisme signifie-t-il la fin de la reproduction sexuée ? Quelles conséquences pour les genres ? L’essor des machines ouvre de nombreuses questions sur le devenir des sexualités.
– « Sexualités, un regard philosophique » : Du monde politique au monde économique, un même fondement
L’individualisme moderne, qui recherche la liberté, nous fait oublier que nous sommes des corps et le fruit d’une relation qui constitue un point de départ de la vie collective.
Yin et yang ne sont pas superposables à « femme » et « homme », puisque nous portons toutes et tous en nous, quel que soit notre sexe, les deux sexualités.
La pensée occidentale a forgé une manière de considérer la « virilité », qui ne sera plus l’apanage des mâles, mais un « volontarisme » à l’égard de la nature, tout autant féminin que masculin.