Chronique
Quand la mode permet d’élever le débat
Le Nouvel Obs
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A sa manière, la mode se bat toujours pour les droits des femmes. Elle se montre même très efficace, écrit Sophie Fontanel, chez Dior, Alaïa ou Miu Miu.
La journée internationale des droits des femmes a soudainement disparu d’Apple et de Google aux Etats-Unis. Je lis cette funeste information sur mon écran de téléphone (Apple) en attendant un show. Cela pourrait sembler hors-sol, non ?! Ça l’est un peu mais pas tant qu’il n’y paraît. Car la mode, bien sûr, est concernée. Et elle se bat toujours, à sa manière, pour les droits des femmes, très efficacement d’ailleurs.
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J’ai vu, chez Christian Dior, un hymne à Orlando, le héros du fameux roman de Virginia Woolf. Orlando devient une femme au détour d’une phrase, se donne tous les droits. J’ai vu des voyageuses libres en tous points, chez Louis Vuitton, dans un hall de gare international. J’ai vu, chez Alaïa, des femmes aux tenues inspirées du monde entier, du Pérou comme du Grand Nord, invincibles, des femmes que l’on n’est pas près de détrôner, héroïnes textile…
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